Petite, quand je voyais les dessins "Martine" , je me souviens avoir désiré très fort vivre dans ce monde là où tout semblait parfait , où tout avait la couleur du bonheur:
Petite, quand je voyais les dessins "Martine" , je me souviens avoir désiré très fort vivre dans ce monde là où tout semblait parfait , où tout avait la couleur du bonheur:
Hier soir, j'ai regardé le témoignage dur, bouleversant de cette journaliste, maman d'un garçon polyhandicapé.
Depuis 8 ans, elle vit avec son autre fils, un quotidien incroyablement épuisant, tout plein d'amour , d'énergie et d'attention pour son enfant autiste et atteint d'handicaps multiples.
Elle arrive quand même à se culpabiliser de le placer pour des courts séjours, dans un centre unique en France , spécialisé dans ce genre d'handicap.
C'est l'un des rendez-vous incontournables de la Foire de Paris : le Concours Lépine, qui dévoile de nouvelles inventions pour simplifier la vie de demain. Le cru 2012 sera présenté au public du 27 avril au 8 mai prochains, à la Porte de Versailles à Paris (pavillon 7.3). Les inventions les plus marquantes recevront le Prix du Président de la République, le Grand Prix du Concours Lépine ou encore le Prix du Président du Concours Lépine. Découverte de cinq inventions qui ont de sérieuses chances de ne pas repartir bredouille.
Le berceau ovoïde transparent en plexiglas
Recyclable entièrement, ce berceau conçu par Catherine Munch se pose sur pied ou peut être suspendu. Sa conception en plexiglas permet de surveiller un nourrisson avec beaucoup plus de visibilité, tout en apportant une touche moderne à la décoration de la chambre.
La tétine rétractable
Une tétine qui tombe à terre, c'est une tétine qui doit être lavée à l'eau avant d'être rendue au bébé. Pour simplifier la vie de parents, la société Idéa'Inov a inventé la tétine qui se rétracte dès qu'elle s'échappe de la bouche du bambin. La tétine elle-même évite ainsi tout contact avec le sol.
ARTUCLE DATANT DU:
Des bébés au Parlement: plusieurs députées européennes ont fait sensation
en emmenant leurs enfants dans l'hémicycle strasbourgeois, rappelant
par ce geste la difficulté pour les femmes à concilier activité professionnelle et vie de famille.
«On pousse les femmes à étudier, à avoir un travail intéressant.
Et puis finalement elles doivent choisir entre leur carrière et leur vie privée.
Les femmes ne devraient pas avoir à choisir», affirme la députée italienne Licia Ronzulli.
Membre du PPE (Parti populaire européen, conservateur), l'élue de 36 ans
proche de l'ancien président du Conseil Silvio Berlusconi est venue à plusieurs reprises
sur les bancs du Parlement avec sa fille Vittoria, âgée de 18 mois
Les photographies de la fillette -emmaillotée dans une écharpe de portage,
jouant avec les écouteurs de sa mère ou dessinant sur son pupitre- ont fait le tour du monde.
En septembre 2010, la jeune maman avait interpellé ses collègues du Parlement, en demandant que «les institutions européennes, à commencer par le Parlement européen, soient plus engagées (sur le sujet)».
Si Licia Ronzulli donne une dimension militante à son acte, d'autres députées mettent
surtout en avant des considérations pratiques.
Un paradoxe de l'institution strasbourgeoise est en effet que ses membres n'ont pas
droit au congé de maternité, ni a fortiori de paternité, à la différence des salariés
du continent: celles qui viennent d'accoucher sont notées «absentes» si elles
ne participent pas aux votes, et ne perçoivent pas l'indemnité journalière normalement due.
«C'est un paradoxe que les lois que nous adoptons ici ne s'appliquent pas aux
députées», souligne la Britannique Catherine Stihler.
Elle-même est venue dans l'hémicycle à la session plénière de janvier avec
son nourrisson de onze semaines dans un porte-bébé. «J'étais inquiète qu'il se réveille
et que je doive le nourrir. Il me semblait important de participer au vote destiné à élire
le nouveau président du Parlement européen», raconte-t-elle.
Sept députées de droite comme de gauche ont écrit il y a quelques mois
au précédent président de l'institution Jerzy Buzek pour lui demander
la mise en place de dispositions adaptées pour les mères de nouveaux-nés,
suggérant de leur permettre d'être remplacées temporairement ou de pouvoir déléguer
leur vote.
M. Buzek a répondu qu'il demanderait au secrétariat général d'examiner
les solutions envisageables. Les députées devraient relancer prochainement
son successeur, Martin Schulz, selon l'Allemande Franziska Brantner.
Quelles qu'en soient les motivations, la démarche de la poignée de femmes qui
ont profité de la souplesse du règlement du Parlement pour emmener leur progéniture
dans l'hémicycle a été plutôt bien accueillie... à quelques exceptions près,
selon Mme Ronzulli.
«Des députées plus âgées ont dit que le Parlement n'était pas une crèche
, que cela nuisait à la solennité du lieu. J'ai répondu qu'il était dommage que
de telles critiques soient émises par des femmes !» affirme-t-elle.
Pour le sociologue François de Singly, enseignant à l'Université Paris Descartes,
la curiosité -ou la gêne- suscitée par le geste de ces députées vient du «brouillage»
de la coupure entre vie publique et vie privée dont il est porteur, au-delà de la
«revendication féministe».
«Une grande partie de la construction mentale de l'Occident reposait sur (cette)
séparation, qui recoupait celle entre masculin et féminin, raison et coeur
. Ce petit événement est révélateur d'une grande transformation, d'une remise en question
de cette coupure, sans que l'on sache très bien comment on recompose
la frontière», analyse-t-il.
Un tatouage | morguefile
Eugene Ashley Stonner, un américain, vient d'être condamné à un an de sursis et devra payer une amende de 300 dollars pour avoir tatoué son fils âgé de trois ans.
Sur son épaule il avait fait tatouer les lettres "DB", pour "Daddy’s Boy" un jour d'ivresse... un jour dont il n'a même plus souvenir !
Ce sont des assistants sociaux qui en rendant visite à la famille, ont découvert ce dessin.
La mère n'a rien dit pourtant mais elle le savait. Il lui avait dit : "Maman, j'ai un tatouage": Elle lui avait alors demandé de le laver et il avait répondu, "je ne peux pas c'est un vrai" relate MailOnline.
L'homme s'est vu interdire d'entrer en contact avec son fils adoptif et c'est l'oncle de l'enfant qui est désormais responsable de lui.
Voilà qui relève plus d'un problème d'alcoolisme que d'une addiction au tatouage...
20 Févr 2012
C’est vrai que jusqu’à présent les enfants avaient tendance à s’ennuyer lorsque leurs parents buvaient un petit café pour finir leur repas ou bien lorsqu’ils les accompagnaient au café. Les australiens ont trouvé comment remédier à ce problème ! Ils ont ainsi créé des « babyccinos », adaptations des célèbres cappuccinos pour adultes à la sauce bambin. Il s’agit de capuccinos décaféinés en mini-portions, de boissons mousseuses type macchiato rehaussées d’un doigt d’espresso ou encore de boissons contenant uniquement du lait et saupoudrées de gingembre ou de poudre de cacao. Les babyccinos ont rencontré un tel succès en Australie qu’il est devenu difficile de trouver un café n’en proposant pas dans son menu.
Ils sont à présent partis à la conquête des Etats-Unis où ils font le buzz. Les « hipsters » locaux, qui ont une véritable culture café, se réjouissent de pouvoir partager leur passion avec leurs enfants, dès le plus jeune âge.
Mais n’y a-t-il aucun risque à servir du café, même décaféiné, à des enfants de plus en plus jeunes ? Pour les médecins, non, car le café décaféiné contient moins de caféine qu’un soda, par exemple. En revanche, ce n’est pas l’avis de nombre d’internautes et blogueurs, qui s’inquiètent de la conséquence de ces babyccinos sur les reins et les estomacs des enfants.
Ce n’est pas la première fois que les professionnels du café s’intéressent aux consommateurs en culottes courtes. En effet, Nestlé avait déjà attaqué ce marché en adaptant sa célèbre Nespresso aux biberons des bébés, avec BabyNes. Mais il n’est pas question de café dans ce concept, uniquement de lait infantile en capsule. Le café décaféiné fera-t-il un jour son apparition sur cette machine ?
Sur You Tube, une vidéo montre deux petits baristas de 5 ans en train de préparer des lattes avec une machine pour professionnels. De futurs accros à la caféine ?
Pour la manip et la conso , je trouve ça un peu prématuré:
http://www.youtube.com/watch?v=mnmmEZ-hMa4&feature=player_embedded
Titeuf en vrai dans la cour de récré ? Ça va pô le faire... Depuis 2009, un couple originaire de l'Oise se bat pour donner à leur fils le prénom du personnage imaginé par Zep. Mais dans un arrêt révélé jeudi par Le Monde, la Cour de Cassation a définitivement tranché, concluant à l'interdiction de baptiser son enfant de cette façon. Porter le prénom de Titeuf, petit garçon fort sympathique et héros de la BD du même nom, serait ainsi "de nature à attirer les moqueries (...) et l'association du prénom Titeuf au personnage de pré-adolescent naïf et maladroit risque de constituer un réel handicap pour l'enfant devenu adolescent puis adulte, tant dans ses relations personnelles que professionnelles".
A la naissance de leur enfant, ce couple avait décidé d'appeler leur nouveau-né Titeuf, Grégory, Léo. Sceptique, l'officier d'état-civil informe le procureur de la République qui décide de poursuivre les parents devant le tribunal de grande instance de Pontoise afin d'ordonner la suppression du prénom Titeuf de l'acte de naissance. Coriaces, les parents font appel, mais sont une nouvelle fois déboutés le 7 octobre 2010 devant la cour d'appel de Versailles. Ils finissent par former un pourvoi en cassation dont la décision a été rendue mercredi, concluant à l'interdiction du prénom Titeuf. Alors même s'il trouve que c'est trop pô juste, les parents pourront toujours laisser pousser la houppette sur la tête de leur petit garçon..
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Selon une étude anglaise effectuée sur le Web, 54 % des parents regrettent le prénom choisi pour leur enfant.
Réalisé par le site anglais Gurgle.com sur 1000 parents, un sondage vient de révéler que la majorité des parents, soit 54 %, regrettait le prénom qu’ils avaient choisi pour leur bébé.
Parmi eux, 26 % estiment que le prénom qu’ils aiment est devenu trop populaire. Quant à presque la moitié (49 %), ils estiment que le prénom de leur enfant ne correspond pas à sa personnalité. De plus, un cinquième des parents a déclaré que leur conjoint avait rejeté le prénom qu’il souhaitait en premier choix pour leur enfant.
Ainsi, il n’est pas rare pour certains parents de changer le prénom de leur enfant. C’est le cas de Pauline et Jeffrey Eadie, un couple de Cleveland, qui sont passés de Emma à Caroline lorsque leur petite fille n’était encore qu’un nouveau-né. De même pour une famille du Connecticut qui a changé le prénom de leur fille lorsqu’elle avait 4 ans, passant de Sophie à Isadora parce qu’il y avait trop de Sophie dans sa classe.
Pour éviter les changements intempestifs de prénoms, le site internet Nameberry.com propose de nombreux conseils aux parents. On y découvre que l’une des principales erreurs faite par les parents est de chosir un prénom « cool ». Les fondateurs du site, Pamela Redmond Satran et Linda Rosenkrantz proposent de se concentrer davantage sur le fait que leur enfant doit vivre heureux avec ce prénom toute sa vie.
Perso; je trouve que c'est encore plus déstabilisant pour un enfant de 4 ans de changer de prénom que d'avoir dès le départ un prénom un peu trop original , de toute façon, si on peut appeler son lapin "civet" et son chien "trouduc", il ne faut pas perdre de vue que le bébé ne restera pas bébé et qu'il n'est pas le jouet de ses parents , c'est un futur "homme", autant l'appeler Clara ou Adrien, des prénoms courts et simples et on peut être plus original sans créer de polémique.
Une émission intéressante ce soir sur FR2:
Description :
Le premier bébé éprouvette français, a 30 ans ! Aujourd’hui 20 000 enfants naissent chaque année en France grâce à la Technique de Fécondation in Vitro. Cette technique permet à de nombreux couples de devenir parents, mais elle permet également d’obtenir des enfants dans des conditions plus polémiques, soulevant de vraies questions de société.
L'émission "Un bébé nommé désir", diffusé le mardi 21 février à 20h35 sur France 2, propose de faire un état des lieux des progrès de la procréation médicalement assistée en retraçant les formidables histoires de couples qui ont eu la chance d’avoir un enfant grâce à la science ou qui nous ont fait part de leur combat pour y parvenir.