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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 09:04

Petite, quand je voyais les dessins "Martine" , je me souviens avoir désiré très fort vivre dans ce monde là où tout semblait parfait , où tout avait  la couleur du bonheur:

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22 janvier 2014 3 22 /01 /janvier /2014 09:17

 

Hier soir, j'ai regardé le témoignage dur, bouleversant de cette journaliste, maman d'un garçon polyhandicapé.

Depuis 8 ans, elle vit avec son autre fils, un quotidien incroyablement épuisant,  tout plein d'amour , d'énergie et d'attention pour son enfant autiste et atteint d'handicaps multiples.

Elle arrive quand même à se culpabiliser de le placer pour des courts séjours,  dans un centre unique en France , spécialisé dans ce genre d'handicap.

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 19:23

 20h sur Radio Classique:

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 16:49

 

 

Concours Lépine : inventions pratiques et insolites à découvrir
Un berceau en plexiglas écolo
Un berceau en plexiglas écolo
Un berceau en plexiglas écolo

C'est l'un des rendez-vous incontournables de la Foire de Paris : le Concours Lépine, qui dévoile de nouvelles inventions pour simplifier la vie de demain. Le cru 2012 sera présenté au public du 27 avril au 8 mai prochains, à la Porte de Versailles à Paris (pavillon 7.3). Les inventions les plus marquantes recevront le Prix du Président de la République, le Grand Prix du Concours Lépine ou encore le Prix du Président du Concours Lépine. Découverte de cinq inventions qui ont de sérieuses chances de ne pas repartir bredouille.

 

Le berceau ovoïde transparent en plexiglas

Recyclable entièrement, ce berceau conçu par Catherine Munch se pose sur pied ou peut être suspendu. Sa conception en plexiglas permet de surveiller un nourrisson avec beaucoup plus de visibilité, tout en apportant une touche moderne à la décoration de la chambre.

 

La tétine rétractable

Une tétine qui tombe à terre, c'est une tétine qui doit être lavée à l'eau avant d'être rendue au bébé. Pour simplifier la vie de parents, la société Idéa'Inov a inventé la tétine qui se rétracte dès qu'elle s'échappe de la bouche du bambin. La tétine elle-même évite ainsi tout contact avec le sol.



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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 18:18

 

L'homme aux 120 enfants

Les donneurs de sperme engendrent sans le savoir des dizaines de rejetons;

ARTUCLE DATANT DU:

20 avril 2009  Santé
Un seul donneur de sperme peut être à l’origine d’une considérable descendance.
Photo : Agence France-Presse
Un seul donneur de sperme peut être à l’origine d’une considérable descendance.
Ottawa — La version humaine du prolifique taureau Starbuck existe. Il s'agit d'un Américain de Virginie aux cheveux blonds bouclés, aux yeux bleus et à la peau basanée. Jusqu'à ce jour, Internet a permis de retracer 120 de ses enfants. Polygame? Nenni. Comme des milliers d'autres jeunes hommes, il a donné pendant des années son sperme dans une clinique de fertilité. Et celle-ci l'a utilisé, semble-t-il, sans retenue.

Si vous êtes tenté de croire à une histoire exceptionnelle, détrompez-vous. S'il faut en croire Wendy Kramer, les donneurs de sperme engendrent fréquemment 30, 40, voire 50 enfants. Mme Kramer sait de quoi elle parle. Elle est à l'origine du Donor/Sibling Registry, un registre en ligne volontaire permettant aux donneurs de sperme ou d'ovules et aux enfants qui en sont nés de communiquer entre eux et d'échanger des informations médicales.

En 2000, sa clinique de fertilité consent à lui révéler que le sperme utilisé pour l'inséminer il y a dix ans a depuis été utilisé par d'autres femmes avec succès. Son fils Ryan a donc de la parenté. La clinique refuse toutefois de fournir plus de détails, au nom du respect de l'anonymat des donneurs. Las de ce manque de coopération, les Kramer lancent un appel sur le site Yahoo: «Quelqu'un d'autre est-il curieux?»

L'initiative suscite peu de réactions jusqu'à ce que quelques médias américains s'y intéressent. «Les choses se sont tout simplement emballées!» raconte Wendy Kramer en entrevue téléphonique avec Le Devoir. Le nombre d'adhésions au site est passé de 40 à 24 000! On y trouve en grande majorité des enfants nés de ces dons anonymes, ou leurs parents, mais aussi 925 donneurs.

Chaque donneur de sperme se voit attribuer un numéro d'identification unique par la clinique qu'il fréquente, code fourni par la suite aux parents infertiles. C'est par ce code que les membres s'inscrivent sur le site américain des Kramer, en ajoutant la description sommaire du donneur offerte par la clinique. Par recoupement, les enfants peuvent constater combien d'autres descendent du même donneur, les donneurs découvrent l'ampleur de leur progéniture anonyme, etc. Ensuite, libre à eux de choisir le niveau de contact qu'ils désirent avoir: certains échangeront des messages anonymes, d'autres accepteront à terme de se rencontrer. Dans le doute, certains vont même jusqu'à passer des tests d'ADN.

Jusqu'à présent, le site a permis à 6383 personnes d'être reliées entre elles, dont environ 400 font partie d'ensembles comprenant un donneur identifié.

Arbre généalogique tentaculaire

Mme Kramer n'a aucun moyen de savoir quelle proportion de la communauté des utilisateurs de banques de sperme et d'ovules ses 24 000 membres représentent, d'autant plus qu'ils se trouvent non seulement aux États-Unis, mais aussi au Canada, en France, en Australie, en Afrique du Sud, en Israël, en Bolivie... Malgré tout, les chiffres obtenus donnent le vertige.

Ainsi, 120 enfants ont découvert qu'ils avaient en partage ce prolifique père de Virginie, encore inconnu puisqu'il n'est pas inscrit sur le site. Il y a de nombreuses autres fratries de plusieurs dizaines d'individus. Et il y a Ben, un jeune homme de 31 ans qui a dû s'ouvrir un fichier Excel pour consigner les informations sur tous ses enfants. Jusqu'à présent, le site lui a permis d'en retracer 60, qui ont tous six ans et demi ou moins!

«J'en ai retracé à Montréal, à Toronto, à New York, en Californie, à Oklahoma, à Chicago et dans l'État de Washington», dit en entrevue avec Le Devoir cet Américain qui habite la Nouvelle-Angleterre et qui ne veut pas être identifié.

Ben a donné du sperme chez Fairfax (une des plus grosses banques de sperme au monde) de 2000 à 2003, alors qu'il était étudiant universitaire. «J'avais accepté en partie parce que j'avais deux cousines éprouvant de grandes difficultés à concevoir et qui ont fini par adopter. Et aussi, en grande partie, je ne vous le cacherai pas, parce que l'aspect financier était très intéressant.» Il reste discret sur cet aspect. Il n'est pas rare que les cliniques versent 50 $ ou plus pour chaque don.

À aucun moment la clinique n'a mentionné le nombre d'enfants qu'il pourrait ainsi générer... et Ben admet ne pas avoir posé la question non plus. C'est un peu par curiosité qu'il s'est inscrit sur le site de Wendy Kramer, mais aussi parce qu'il savait que beaucoup de parents infertiles cherchaient à obtenir plus d'informations médicales sur leur donneur.

«Au début, quand j'ai découvert que j'avais environ 60 enfants, je me suis senti dépassé par les événements», reconnaît-il. Il n'en a rencontré que deux, un couple de jumeaux de trois ans du Canada. «Leur mère s'adonnait à voyager dans mon coin et j'ai accepté de la rencontrer. On a dit aux enfants que j'étais un ami, c'est tout.»

Pas plus de dix...

Pour Wendy Kramer, son site démontre l'irresponsabilité totale de l'industrie de la fertilité. «Les banques de sperme n'ont aucune idée du nombre d'enfants qu'un même donneur peut engendrer. C'est très dérangeant pour un parent d'arriver sur notre site et de découvrir que leur enfant a 20, 50 ou 70 demi-frères et demi-soeurs.»

Elle raconte avoir abordé ce sujet avec un directeur de banque de sperme qui n'a pas compris son inquiétude. «Il m'a dit: "En admettant que ces enfants ne vivent pas dans la même région, c'est quoi le problème?" Ça vous montre le fossé énorme qui sépare l'industrie de la fertilité des familles qu'elle crée. Cet homme était tout à fait imperméable aux ramifications psychosociales de se savoir une progéniture de 50 enfants.»

Son fils s'est découvert, jusqu'à présent, six demi-soeurs. Il en a rencontré deux. Il est heureux de cela, concède sa mère, mais ignore ce qu'il pensera s'il en trouve plus. Plusieurs membres se retirent du site lorsqu'ils découvrent l'étendue de leur famille biologique, soutient-elle. Ce fut le cas de la moitié des enfants faisant partie de la fratrie de l'homme de Virginie, pris de panique. «Aucun n'accepte de parler aux médias.»

Selon Mme Kramer, plusieurs donneurs se sentent floués. «On leur dit dans les cliniques qu'ils n'auront pas plus qu'une dizaine d'enfants. Ils mentent!» Sans compter les risques de propagation à grande échelle de maladies génétiques non détectées.

«Tout est une question d'argent. La procréation assistée est une industrie de trois milliards de dollars aux États-Unis. Pensez-vous vraiment que le jeune homme de 19 ans à qui on dirait qu'il aurait 100 enfants continuerait à donner de son sperme? C'est vraiment un beau gâchis.»

Ben n'est pas aussi catégorique et admet ne pas trop savoir quoi penser. «Quand on parle de fratries de 30, 40, 60 ou 100 personnes, la réaction des gens est que c'est complètement fou. Peut-être que ce l'est, peut-être que ce ne l'est pas. Considérant que cela ne concerne qu'un très petit pourcentage de la population, ce n'est peut-être pas si mal. Mais je crois qu'il devrait y avoir une certaine forme de contrôle.» Ben estime que la limite acceptable pourrait varier selon que la banque de sperme exporte ses produits à travers le monde ou au contraire n'alimente qu'un petit marché.

Le Canada aussi

Wendy Kramer dit vouloir informer les gens afin d'améliorer les pratiques des cliniques privées. N'empêche, elle dit faire l'objet de beaucoup d'animosité de la part des cliniques de fertilité et des médecins, certains mettant en doute ses chiffres. «On a soulevé le tapis en dessous duquel ils avaient balayé tous leurs sales petits secrets.»

La situation n'est pas différente au Canada , entre autres parce que depuis quelques années, les cliniques de fertilité utilisent presque exclusivement du sperme américain. D'ailleurs, le site de Mme Kramer compte 660 Canadiens, dont 285 ont été reliés.

Le Canada a adopté en 2004 une Loi sur la procréation assistée qui devait réglementer les pratiques des cliniques de fertilité, notamment pour limiter le nombre d'enfants qu'un même donneur peut engendrer. Mais comme l'a révélé Le Devoir en 2005, la loi n'est pas appliquée parce que les règlements n'ont jamais vu le jour, les fonctionnaires prenant un temps anormalement élevé pour les élaborer. Maintenant que Québec en conteste la constitutionnalité en Cour suprême, le processus est complètement suspendu.
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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 09:12
Des bébés au Parlement européen
La députée italienne Licia Ronzulli et sa fille au Parlement européen, mercredi 15 février 2012.
La députée italienne Licia Ronzulli et sa fille au Parlement européen, mercredi 15 février 2012. (Photo Vincent Kessler. Reuters)

Des bébés au Parlement: plusieurs députées européennes ont fait sensation

en emmenant leurs enfants dans l'hémicycle strasbourgeois, rappelant

par ce geste la difficulté pour les femmes à concilier activité professionnelle et vie de famille.

«On pousse les femmes à étudier, à avoir un travail intéressant.

Et puis finalement elles doivent choisir entre leur carrière et leur vie privée.

Les femmes ne devraient pas avoir à choisir», affirme la députée italienne Licia Ronzulli.

Membre du PPE (Parti populaire européen, conservateur), l'élue de 36 ans

proche de l'ancien président du Conseil Silvio Berlusconi est venue à plusieurs reprises

sur les bancs du Parlement avec sa fille Vittoria, âgée de 18 mois

Les photographies de la fillette -emmaillotée dans une écharpe de portage,

jouant avec les écouteurs de sa mère ou dessinant sur son pupitre- ont fait le tour du monde.

En septembre 2010, la jeune maman avait interpellé ses collègues du Parlement, en demandant que «les institutions européennes, à commencer par le Parlement européen, soient plus engagées (sur le sujet)».

Si Licia Ronzulli donne une dimension militante à son acte, d'autres députées mettent

surtout en avant des considérations pratiques.

Un paradoxe de l'institution strasbourgeoise est en effet que ses membres n'ont pas

droit au congé de maternité, ni a fortiori de paternité, à la différence des salariés

du continent: celles qui viennent d'accoucher sont notées «absentes» si elles

ne participent pas aux votes, et ne perçoivent pas l'indemnité journalière normalement due.

«C'est un paradoxe que les lois que nous adoptons ici ne s'appliquent pas aux

députées», souligne la Britannique Catherine Stihler.

Elle-même est venue dans l'hémicycle à la session plénière de janvier avec

son nourrisson de onze semaines dans un porte-bébé. «J'étais inquiète qu'il se réveille

et que je doive le nourrir. Il me semblait important de participer au vote destiné à élire

le nouveau président du Parlement européen», raconte-t-elle.

Sept députées de droite comme de gauche ont écrit il y a quelques mois

au précédent président de l'institution Jerzy Buzek pour lui demander

la mise en place de dispositions adaptées pour les mères de nouveaux-nés,

suggérant de leur permettre d'être remplacées temporairement ou de pouvoir déléguer

leur vote.

M. Buzek a répondu qu'il demanderait au secrétariat général d'examiner

les solutions envisageables. Les députées devraient relancer prochainement

son successeur, Martin Schulz, selon l'Allemande Franziska Brantner.

Quelles qu'en soient les motivations, la démarche de la poignée de femmes qui

ont profité de la souplesse du règlement du Parlement pour emmener leur progéniture

dans l'hémicycle a été plutôt bien accueillie... à quelques exceptions près,

selon Mme Ronzulli.

«Des députées plus âgées ont dit que le Parlement n'était pas une crèche

, que cela nuisait à la solennité du lieu. J'ai répondu qu'il était dommage que

de telles critiques soient émises par des femmes !»  affirme-t-elle.

Pour le sociologue François de Singly, enseignant à l'Université Paris Descartes,

la curiosité -ou la gêne- suscitée par le geste de ces députées vient du «brouillage»

de la coupure entre vie publique et vie privée dont il est porteur, au-delà de la 

«revendication féministe».

«Une grande partie de la construction mentale de l'Occident reposait sur (cette)

séparation, qui recoupait celle entre masculin et féminin, raison et coeur

. Ce petit événement est révélateur d'une grande transformation, d'une remise en question

de cette coupure, sans que l'on sache très bien comment on recompose

la frontière», analyse-t-il.

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 10:06


 

Le papa fait tatouer son fils de 3 ans

Un tatouage Un tatouage | morguefile

Eugene Ashley Stonner, un américain, vient d'être condamné à un an de sursis et devra payer une amende de 300 dollars pour avoir tatoué son fils âgé de trois ans.

Sur son épaule il avait fait tatouer les lettres "DB", pour "Daddy’s Boy" un jour d'ivresse... un jour dont il n'a même plus souvenir !

Ce sont des assistants sociaux qui en rendant visite à la famille, ont découvert ce dessin.
La mère n'a rien dit pourtant mais elle le savait. Il lui avait dit : "Maman, j'ai un tatouage": Elle lui avait alors demandé de le laver et il avait répondu, "je ne peux pas c'est un vrai" relate MailOnline.

L'homme s'est vu interdire d'entrer en contact avec son fils adoptif et c'est l'oncle de l'enfant qui est désormais responsable de lui.

Voilà qui relève plus d'un problème d'alcoolisme que d'une addiction au tatouage...

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 08:20
Enfant buvant un babyccino
Recherche - InnovationBoissons sans alcoolProduits laitiers

Babyccinos : bébé prendra bien un petit café pour finir son repas ?

C’est vrai que jusqu’à présent les enfants avaient tendance à s’ennuyer lorsque leurs parents buvaient un petit café pour finir leur repas ou bien lorsqu’ils les accompagnaient au café. Les australiens ont trouvé comment remédier à ce problème ! Ils ont ainsi créé des « babyccinos », adaptations des célèbres cappuccinos pour adultes à la sauce bambin. Il s’agit de capuccinos décaféinés en mini-portions, de boissons mousseuses type macchiato rehaussées d’un doigt d’espresso ou encore de boissons contenant uniquement du lait et saupoudrées de gingembre ou de poudre de cacao. Les babyccinos ont rencontré un tel succès en Australie qu’il est devenu difficile de trouver un café n’en proposant pas dans son menu.

Ils sont à présent partis à la conquête des Etats-Unis où ils font le buzz. Les « hipsters » locaux, qui ont une véritable culture café, se réjouissent de pouvoir partager leur passion avec leurs enfants, dès le plus jeune âge.

 

Mais n’y a-t-il aucun risque à servir du café, même décaféiné, à des enfants de plus en plus jeunes ? Pour les médecins, non, car le café décaféiné contient moins de caféine qu’un soda, par exemple. En revanche, ce n’est pas l’avis de nombre d’internautes et blogueurs, qui s’inquiètent de la conséquence de ces babyccinos sur les reins et les estomacs des enfants.

 

Ce n’est pas la première fois que les professionnels du café s’intéressent aux consommateurs en culottes courtes. En effet, Nestlé avait déjà attaqué ce marché en adaptant sa célèbre Nespresso aux biberons des bébés, avec BabyNes. Mais il n’est pas question de café dans ce concept, uniquement de lait infantile en capsule. Le café décaféiné fera-t-il un jour son apparition sur cette machine ?

Sur You Tube, une vidéo montre deux petits baristas de 5 ans en train de préparer des lattes avec une machine pour professionnels. De futurs accros à la caféine ?

 

Pour la manip et la conso , je trouve ça un peu prématuré:

http://www.youtube.com/watch?v=mnmmEZ-hMa4&feature=player_embedded

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 10:17

 

ls veulent appeler leur enfant Titeuf, la justice refuse

La justice a tranché, il est interdit d'appeler son nouveau-né Titeuf, même si l'on est un grand fan de la BD du même nom. Donner le prénom de ce personnage, bien que sympathique, a été jugé contraire à l'intérêt de l'enfant.


Titeuf en vrai dans la cour de récré ? Ça va pô le faire... Depuis 2009, un couple originaire de l'Oise se bat pour donner à leur fils le prénom du personnage imaginé par Zep. Mais dans un arrêt révélé jeudi par Le Monde, la Cour de Cassation a définitivement tranché, concluant à l'interdiction de baptiser son enfant de cette façon. Porter le prénom de Titeuf, petit garçon fort sympathique et héros de la BD du même nom, serait ainsi "de nature à attirer les moqueries (...) et l'association du prénom Titeuf au personnage de pré-adolescent naïf et maladroit risque de constituer un réel handicap pour l'enfant devenu adolescent puis adulte, tant dans ses relations personnelles que professionnelles".

A la naissance de leur enfant, ce couple avait décidé d'appeler leur nouveau-né Titeuf, Grégory, Léo. Sceptique, l'officier d'état-civil informe le procureur de la République qui décide de poursuivre les parents devant le tribunal de grande instance de Pontoise afin d'ordonner la suppression du prénom Titeuf de l'acte de naissance. Coriaces, les parents font appel, mais sont une nouvelle fois déboutés le 7 octobre 2010 devant la cour d'appel de Versailles. Ils finissent par former un pourvoi en cassation dont la décision a été rendue mercredi, concluant à l'interdiction du prénom Titeuf. Alors même s'il trouve que c'est trop pô juste, les parents pourront toujours laisser pousser la houppette sur la tête de leur petit garçon..

 

.

Selon une étude anglaise effectuée sur le Web, 54 % des parents regrettent le prénom choisi pour leur enfant.

Réalisé par le site anglais Gurgle.com sur  1000 parents, un sondage vient de révéler que la majorité des parents, soit 54 %, regrettait le prénom qu’ils avaient choisi pour leur bébé.
Parmi eux, 26 % estiment que le prénom qu’ils aiment est devenu trop populaire. Quant à presque la moitié (49 %), ils estiment que le prénom de leur enfant ne correspond pas à sa personnalité. De plus, un cinquième des parents a déclaré que leur conjoint avait rejeté le prénom qu’il souhaitait en premier choix pour leur enfant.
Ainsi, il n’est pas rare pour certains parents de changer le prénom de leur enfant. C’est le cas de Pauline et Jeffrey Eadie, un couple de Cleveland, qui sont passés de Emma à Caroline lorsque leur petite fille n’était encore qu’un nouveau-né. De même pour une famille du Connecticut qui a changé le prénom de leur fille lorsqu’elle avait 4 ans, passant de Sophie à Isadora parce qu’il y avait trop de Sophie dans sa classe.  
Pour éviter les changements intempestifs de prénoms, le site internet Nameberry.com propose de nombreux conseils aux parents. On y découvre que l’une des principales erreurs faite par les parents est de chosir un prénom « cool ». Les fondateurs du site, Pamela Redmond Satran et Linda Rosenkrantz proposent de se concentrer davantage sur le fait que leur enfant doit vivre heureux avec ce prénom toute sa vie.

 

 

Perso; je trouve que c'est encore plus déstabilisant pour un enfant de 4 ans de changer de prénom que d'avoir dès le départ un prénom un peu trop original , de toute façon, si on peut appeler son lapin "civet" et son chien "trouduc", il ne faut pas perdre de vue que le bébé ne restera pas bébé et qu'il n'est pas le jouet de ses parents , c'est un futur "homme", autant l'appeler Clara ou Adrien, des prénoms courts et simples et on peut être plus original sans créer de polémique.

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21 février 2012 2 21 /02 /février /2012 09:15

Une émission intéressante ce soir sur FR2:

Description :
Le premier bébé éprouvette français, a 30 ans ! Aujourd’hui 20 000 enfants naissent chaque année en France grâce à la Technique de Fécondation in Vitro. Cette technique  permet à de nombreux couples de devenir parents, mais elle permet également d’obtenir des enfants dans des conditions plus polémiques, soulevant de vraies questions de société.

L'émission "Un bébé nommé désir", diffusé le mardi 21 février à 20h35 sur France 2, propose de faire un état des lieux des progrès de la procréation médicalement assistée en retraçant les formidables histoires de couples qui ont eu la chance d’avoir un enfant grâce à la science ou qui nous ont fait part de leur combat pour y parvenir.

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  • : Cool, la vie...!
  • : Etre parents à chaque étape , d'un bébé , d'un petit , d'un ado , d'un adulte ...pas évident ! Lorsqu'on a envie d'avoir un bébé , on pense plus à la première étape , mais les autres , celles qui suivent ne sont pas les plus faciles...;blog d'aide (sans prétention )....
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  • Entre le premier regard échangé à la naissance et les conversations qu'on peut avoir avec son enfant devenu adulte , des années se sont écoulées , les inquiétudes , joies , les visages ne sont plus les mêmes , mais les liens sont aussi forts

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